Ward - Lott
Rang C :
Ward : D’accord, qui est le prochain! Amenez-vous!
Lott : Ward, peux-tu te calmer un peu?
Ward : Hein? Qu’est-ce qui se passe? Tu as peur, Lott?
Lott : Comme si!
Ward : Alors, tout va bien, non? Je commence par charger, et tu t’occupes du reste pour moi. Nous avons bien fonctionné depuis tout ce temps.
Lott : Et bien, ouais, mais…
Ward : Mais quoi?
Lott : Marie m’a demandé de prendre soin de toi.
Ward : Ma sœur a dit ça? Oh mon dieu, je ne suis plus un enfant…
Lott : J’espère que tu as raison.
Ward : As-tu dit quelque chose?
Lott : Non, je n’ai rien dit.
Rang B :
Lott : Ward, tu as l’air de bien aller aujourd’hui.
Ward : Évidemment! Je vais toujours bien. Tu ferais mieux de bien aller toi aussi, tu sais. Tu dois gagner de l’argent pour acheter des médicaments pour ta mère…
Lott : … C’est plus la peine, maintenant.
Ward : Hein? Que veux-tu dire?
Lott : Ma mère, elle…Elle n’y est pas arrivée.
Ward : Quoi !? Pourquoi ne m’as-tu rien dit ?
Lott : Si je te l’avais dit, tu serais en train de me crier dessus pour que j’aille rejoindre Myu à la maison, non ?
Ward : Qu’est-ce que tu penses ! Myu est toute seule à présent. Tu es indifférent à ta propre sœur ?
Lott : Mais c’était durant une mission. Je ne pouvais pas la rater.
Ward : … Lott ?
Lott : Quoi ?
Ward : Tu es plus idiot que je ne le pensais.
Lott : … Peut-être.
Rang A :
Lott : Ward, tu agis bizarrement ces derniers temps. Tu as quelque chose à me dire ?
Ward : …Lott ?
Lott : Ouais ?
Ward : Ne meurs pas. Tu ferais mieux de ne pas mourir.
Lott : Mais qu’est-ce que…
Ward : Si tu te faisais tuer, qu’arriverait-il à Myu ? Elle n’est seulement qu’une petite fille, et elle serait forcée de vivre d’elle-même.
Lott : Mais tu es pareil. Si tu meurs, Marie serait fâchée.
Ward : Oh sûrement, comme si cette poufiasse va se mettre en colère contre moi.
Lott : … Tu n’es pas comme ça réellement.
Ward : ……
Lott : Ce n’est pas « je » ne vais pas mourir. « Nous » n’allons pas mourir. Éventuellement, nous allons aller à la maison, dans notre village natale.
Ward : … C’est seulement un village décrépit avec des rivières sales et aucune verdure.
Lott : Mais c’est notre village natale, et il y a des gens qui nous attendent.
Ward : Ouais, tu as raison.
Ward - Thany
Rang C :
Ward : Alors, qui est le prochain ! … ? Hé ! Thany !
Thany : Salut, Ward. Qu’y a-t-il ?
Ward: Ne tourne pas autour du front comme ça !
Thany : Quoi !? Tourner autour!?
Ward : C’est énervant lorsque quelques faiblards, qui tombent aussi facilement à cause d’un petit archer, vole tout autour de nous!
Thany : Oh ouais !? Et bien, c’est une plaie pour moi d’avoir quelques lourdos qui manient les haches et qui n’ont aucune cervelle, qui se battent proche de moi aussi! N’as-tu jamais entendu le concept de fuir?
Ward : Que viens-tu de dire ! Tu cherches la bagarre avec moi !?
Thany : Tu es celui qui cherche la bagarre ! Et bien, même si nous devions nous battre, il n’y aucune chance que cette lourde hache pourrait se rendre jusqu’à moi d’où je suis.
Ward : Hé…Thany ! C’est n’est pas juste ! Reviens en bas !
Thany : Aucune chance ! Attrape-moi si tu le peux, lourdos !
*Thany s’envole*
Ward : Bon dieu ! Pourquoi doit-elle toujours m’emmerder!?
Rang B :
Thany : Pfiou…
Ward : Un peu trop tôt pour se relaxer, n’est-ce pas ?
Thany : Ouch ! Hé ! Pourquoi as-tu fais ça ?
Ward : Il y avait un archer ennemi qui te visait depuis les buissons.
Thany : Quoi…
Ward : Et te voici, prenant cela à la légère. Quelle idiote.
Thany : Idiote ? Qui est un idiot ?!
Ward : Quelqu’un qui décide simplement de se relaxer en plein milieu d’un combat, ressemble à un idiot pour moi. Tu es chanceuse que je sois passé. Sinon, tu ne serais plus là en ce moment.
Thany : Quoi !? Humph, j’aurais pu aisément m’occuper d’un seul archer. Tu n’as pas besoin de m’endetter à toi pour m’avoir sauvé comme ça.
Ward : Oh, c’est comme ça ! Et bien excuse-moi ! Très bien, à partir de maintenant, je vais seulement observer. Bonne chance !
*Ward s’en va*
Thany : Cet idiot ! Je n’ai pas pu le remercier…
Rang A :
Ward : Où est-elle allée ?
Thany : Oh, c’est Ward. Que fais-tu là ? Je t’ai dit de me laisser cette partie du combat.
Ward : Cela ne veut pas dire simplement de s’envoler au loin toute seule ! Nous devons écouter les ordres du chef…
Thany : Mais si nous ne faisons que s’asseoir et attendre les ordres, nous pourrions manquer une belle chance !
Ward : Ne comprends-tu pas !? Et si tu t’étais retrouvé face à une horde d’archers ! Comment se fait-il que nous ayons toujours des gens comme toi qui ne réfléchissent jamais avant d’agir…
Thany : ? Je pensais que tu étais fâché parce que je m’étais envolée seule.
Ward : Évidemment que je le suis ! Nous devons travailler en équipe pendant une bataille…
Thany : Alors qu’est-ce que c’était tout ce sermon à propos des archers ?
Ward : !! C-C’était que…
Thany : … Étais-tu inquiet pour moi ?
Ward : D-D-De quoi parles-tu ! J-J-Jamais ! J-Je ne faisais que te montrer comment nous devions agir pendant une bataille…
Thany : Ward, tu t’enfonces.
Ward : Urgh…
Thany : Hé, Ward.
Ward: Quoi?
Thany: Merci.
Ward: … Fais-moi rire. Ce n’est pas du tout comme toi.
Thany : Hihi… Ouais, tu as raison.
Igraine - Saul
Rang C :
Saul : Oh, Seigneur…
Igraine : … Avez-vous besoin de quelque chose?
Saul : Oui, effectivement! … Ah, mais avant… Je suis Saul. Cela serait un honneur de savoir votre nom aussi…
Igraine : Je suis Igraine. Alors… de quoi avez-vous besoin?
Saul : Ah, un si joli nom, comme je l’imaginais. Igraine… Si je devais décrire le plaisir d’entendre un nom si élégant…
Igraine : Non, vous n’avez pas besoin de le décrire. Avez-vous besoin de quelque chose?
Saul : Connaissez-vous l’Église de Ste-Élimine, Igraine? Elle est vraiment populaire parmi la noblesse, parce que lorsque l’on prie profondément, tous vos rêves se réalisent immédiatement!
Igraine : Oh…est-ce cela que vous voulez? Je suis désolée, mais je ne crois pas en Dieu…
Saul : Oh, mais vous devriez. Si vous ne suivez pas l’Église de Ste-Élimine, vous allez être maudite!
Igraine : … Est-ce là le genre de Dieu que vous suivez?
Saul : Oh, non, je ne faisais que plaisanter. Que diriez-vous si nous dînions ensemble un soir, et je pourrais vous parler de l’amour de Dieu…
*Igraine s’en va alors que Saul parle*
Saul : Euh, Igraine? Où allez-vous?
Rang B :
Saul, Ah, Igraine!
Igraine : …Encore vous.
Saul : C’est vraiment un miracle que nous puissions nous rencontrer de nouveau comme cela. Dieu doit m’avoir guidé jusqu’à vous.
Igraine : Oui, c’est bien. Et bien, je dois y aller…
Saul : Oh, attendez s’il-vous-plait! C’est une merveille chose à croire Igraine!
Igraine : Oui, je sais. Je croyais aussi en Dieu avant. Même si c’est un Dieu différent du vôtre, je pense que j’étais assez sérieuse à propos de cela.
Saul : Vraiment? Pourquoi avez-vous arrêtez d’y croire?
Igraine : Plusieurs années plus tôt… j’ai arrêté de prier. C’était après avoir perdu quelqu’un de cher pendant une bataille.
Saul : … Je vois.
Igraine : Ceux qui prient Dieu espèrent quelque chose en retour. Mais ils ne vont jamais rien recevoir, et ceci les amène à détester Dieu. Je pense que cela amènerait bien moins de trouble de penser que de telle entité existe en premier lieu.
Saul : …… Oui, vous avez raison.
Igraine : … Est-ce correct pour un prêtre comme vous de dire une telle chose?
Saul : C’est correct, je suis une personne ouverte d’esprit. Par contre, Ste-Élimine a dit ceci : « Dieu ne nous aident pas parce qu’Il croit en nous. »
Igraine : Croit… en nous?
Saul : Oui.
Rang A;
Igraine : Père Saul.
Saul : Oh, Igraine! Que se passe-t-il? Ah, alors vous avez finalement décidé de venir me voir…
Igraine : C’est à propos de ce que vous avez dit l’autre jour… Vous avez dit que Dieu ne nous aide pas parce qu’Il croit en nous.
Saul : C’est ce que Ste-Élimine dit… Dieu, qui a créé ce monde, est tout-puissant. Il peut changer les gens et le monde. Il peut altérer, nous, humains pour que nous ne nous battions pas ainsi. Par contre, est-ce vraiment le bon chemin?
Igraine : ……
Saul : Les humains qui agissent seulement selon la volonté de Dieu ne seraient que des marionnettes sans esprit. Dieu croit que les humains peuvent changer, qu’ils peuvent apprendre de ses erreurs. Dieu sait que nous pouvons surmonter les épreuves pour trouver la paix et l’harmonie.
Igraine : …… Je ne crois pas en Dieu, mais je respecte les gens qui pensent comme vous. Merci pour m’avoir accorder de votre temps, Père Saul. Je dois partir maintenant…
Saul : Je vous en prie, ce fut un plaisir d’avoir pu vous aider. Maintenant, nous pouvons discuter de notre dîner ensemble… … Igraine? Où allez-vous?
Yodel - Dayan
Rang C :
Yodel : Êtes-vous Dayan, le Loup Argent?
Dayan : Vous n’êtes pas un Sacaéen, pourtant vous connaissez mon nom… Où avez-vous entendu parler de moi?
Yodel : Une fois par le passé, j’ai soigné un Sacaéen blessé. C’est là que j’ai entendu parler du guerrier invaincu de Sacae. J’espérais quelqu’un avec les cheveux blancs comme les miens.
Dayan : Le nom « Loup Argent » vient de nos ancêtres. Nos légendes disent que nos ancêtres étaient des loups.
Yodel : Ah, je vois.
Dayan : Avez-vous besoin de quelque chose de ma part? Si vous voulez prêcher, j’ai déjà une religion à honorer.
Yodel : Non, je ne suis pas venu pour prêcher.
Dayan : … Êtes-vous sûr? N’avez-vous pas besoin de servir votre dieu?
Yodel : Évidemment, ma mission est de guider ceux qui ont besoin de direction. Mais vous autre Sacaéen avez déjà le ciel et la terre à adorer. Dieu n’approuverait pas que je pousse mes croyances sur vous.
Dayan : … Je vois.
Rang B :
Dayan : Nous autre Sacaéen prions le Ciel et la Terre. La lumière du jour et la noirceur de la nuit qui engouffrent cette terre… Ils produisent le vent, l’éclair, le feu, la glace, et beaucoup d’autres affinités… Chaque personne sur cette planète est protégée par un de ces éléments. Selon les croyances de mon clan, je suis protégé par l’affinité Anima.
Yodel : Je vois. Intéressant.
Dayan : Que voulez-vous dire?
Yodel : L’Église d’Élimine a des croyances similaires. Lorsque le créateur a fait l’homme, il les a tous béni d’une des sept affinités. Par contre, ces éléments…
Dayan : … Ces éléments ne détiennent aucun pouvoir d’eux-mêmes.
Yodel : Exactement.
Dayan : Hum… Intéressant, en effet.
Yodel : Oui. Peut-être… est-ce une des vérités sur la création de notre monde.
Rang A :
Dayan : Les sept affinités… Leurs effets vont seulement apparaître à travers des liens avec d’autres personnes. Lorsque notre cœur est en lien avec celui de quelqu’un d’autre… Ceci est lorsque les éléments révèlent leur vrai pouvoir.
Yodel : Oui. Ste-Élimine a aussi dit de chérir nos relations.
Dayan : Hum… Je me demande si nous avons été capable de relier nos cœur l’un avec l’autre.
Yodel : Je suis sûr que nous l’avons fait. Nous n’avons encore pas vu les effets que cela va avoir…
Allan - Ward
Rang C :
Allan : Tu…Tu es Ward, le mercenaire.
Ward : Euh…Qui es-tu?
Allan : Je suis Allan, cavalier de Pherae.
Ward : Ah, oui c’est vrai. Tu es l’un des cavaliers de notre client. Hé…es-tu un bon combattant?
Allan : En parlant de vitesse… Et bien, je peux dire que je me considère comme étant assez habile.
Ward : D’accord, c’est bien Tu veux faire un duel?
Allan : Quoi, maintenant?
Ward : Évidemment.
Allan : Très bien. Mais je te le dis maintenant, je ne peux pas y aller facilement avec toi.
Ward : Je te tuerais si tu le faisais. Tu ferais mieux de ne pas te plaindre lorsque tu seras blessé.
Allan : Alors…allons-y!
*Ils se battent*
Ward : W…Wahou… Tu es meilleur que je ne le pensais.
Allan : Toi aussi… Beau combat!
Ward : Écoute bien, la prochaine fois je vais te battre. Compris?
Allan : Parfaitement!
Rang B :
Ward : Hé toi!
Allan : Ward! Comment vas-tu?
Ward : Je te cherchais. Continuons. Nous n’avons pas encore finit notre duel de l’autre jour.
Allan : Ah? Je pensais avoir gagné ce match.
Ward : Aucune chance, je ne faisais que m’échauffer. Tu n’as pas encore vu le vrai Ward.
Allan : Ah non? Alors je vais y aller à pleine puissance moi aussi!
Ward : Amène-toi!
*Ils se battent*
Ward : Seigneur… Tu es fort…
Allan : Nous sommes quittes maintenant… Lance et moi avions l’habitude de nous battre comme ça souvent. C’est une chance d’avoir un partenaire avec lequel tu peux t’entraîner pour voir comment tu as progressé.
Ward : Je n’ai toujours pas perdu! Je vais vraiment tout donner la prochaine fois, tu entends?
Allan : Évidemment. Je vais combattre à tout moment!
Rang A :
Ward : Aaaaahhhh!
Allan : …! Tu… deviens meilleur, Ward!
Ward : T…Toi aussi! Tu deviens plus fort à chaque fois que je te vois.
Allan : Je suis toujours faible. Je dois devenir encore plus fort.
Ward : Hé, alors je vais devenir plus fort que ça! Peu importe combien d’ennemis vont sortir, je vais tous les abattre avec ma hache…
Allan : Ennemis… Ward.
Ward : Quoi?
Allan : Comment vois-tu cette bataille?
Ward : Que veux-tu dire, comment?
Allan : Penses-tu que nous pouvons gagner?
Ward : Quoi? Évidemment que nous allons gagner. Je suis de ce côté, après tout. Comment pouvons-nous perdre? Et nous t’avons toi aussi. Aucune ennemi n’aurait une chance contre nous deux.
Allan : Haha… C’est vrai, j’avais oublié. Il n’y a aucune chance pour que nous perdions. Ce n’est mon genre de devenir inquiet comme ça. C’est bon! Chargez!
Ward : Oh ouais! Allons les chercher!
Sue - Dayan
Rang C :
Sue : Grand-père.
Dayan : Sue? Qu’y a-t-il?
Sue : Je dois m’excuser.
Dayan : Parce que tu n’as pas put sauver tout nos frères?
Sue : ……
Dayan : Il y avait un traître parmi nous. Ça ne pouvait pas être empêché.
Sue : Si, ça le pouvait. Je suis la petite-fille du Loup d’Argent. Je devrais être capable d’amener nos frères en sûreté, peu importe la situation. Mais je…
Dayan : Je suis celui qui t’a donné ces ordres. C’est ma responsabilité.
Sue : Mais…
Dayan : As-tu abandonnée tes frères et fuyant toute seule?
Sue : Jamais! Lorsque l’ennemi est apparut, je me suis accourut vers eux pour donner du temps à note peuple de s’enfuir. Mais c’était un leurre… Les principales forces de l’ennemi étaient stationnées directement où tout le monde s’en allait…
Dayan : Bien. Tu as fait de ton mieux. Je suis sûr que tu ne peux pas l’oublier facilement, mais tu peux au moins passer par-dessus.
Sue : Oui… je vais essayer.
Rang B :
Dayan : Sue, te sens-tu mieux maintenant?
Sue : ……
Dayan : Je vois que tu souffres toujours à propos de cela. Et bien, je suppose que tu ne peux pas passer par-dessus aussi facilement…
Sue : J’ai…J’ai juste laissée mon peuple…
Dayan : … Sue, allons faire une longue promenade après cette bataille.
Sue : Une longue promenade? Avec un temps pareil?
Dayan : Spécialement à temps pareil. Tu pourrais te faire tuer avec autre chose qui te préoccupent. Comprends-tu?
Sue : Oui. Mais…
Dayan : Tu dois écouter plus attentivement les voix du Père Ciel et de Mère Terre. Nous autres humains, sommes seulement de minuscules créatures comparées à la grandeur du grand Ciel et de la grande Terre. Ne t’ai-je jamais dit cela?
Sue : Mais j’écoute…!
Dayan : Non, tu n’écoutes que ta propre voix. Nous partirons pour un moment après cette bataille. Compris?
Sue : … Je vais faire ce que tu me dis.
Dayan : Bonne fille.
Rang A :
Dayan : Tu as l’air vraiment mieux maintenant, Sue.
Sue : Oui. Je ne peux toujours pas oublier que je n’ai pas put sauver mes frères, mais j’ai décidé de ne plus me morfondre sur le passé. Je vais regarder vers le futur.
Dayan : Ah, il semble que tu es appris quelque chose de notre promenade de l’autre jour.
Sue : J’ai été capable d’écouter la voix de la nature pour faire ce changement.
Dayan : Bien! Je ne pouvais supporter de te voir autant en détresse.
Sue : Je n’avais jamais eut un tel air sur mon visage. Personne ne me l’avait jamais dit.
Dayan : Les autres ne peuvent le savoir, mais je le peux. Je suis ton grand-père. Je te connais depuis que tu es née.
Sue : Ah…Grand-père.
Dayan : Quoi?
Sue : Merci.
Dayan : Je ne faisais que mon devoir en tant que Grand-père.
Sue : Oui, je sais.
Sue - Wolt
Rang C :
Wolt : C’est bon, où est le prochain ennemi…
Sue : ......
Wolt : ? As-tu besoin de quelque chose Sue ?
Sue : Tu utilises un arc, toi aussi.
Wolt : Oui, j’en utilise un.
Sue : Pourquoi ne chevauches-tu pas un cheval ?
Wolt : Pourquoi ? Et bien... J’ai toujours combattu comme ça, à pied.
Sue : N’est-ce pas difficile de combattre par terre ?
Wolt : Non, pas vraiment. Je veux dire, je pense que cela serait plus difficile de tirer à dos de cheval.
Sue : Je vois...
*Sue s’en va*
Wolt : Euh, Sue ? ... Pourquoi tout ça ?
Rang B :
Sue : Wolt.
Wolt : Ah salut, Sue.
Sue: Je continue de croire que c’est mieux d’être monté sur un cheval.
Wolt : Quoi ? … Parles-tu de combattre avec un arc ?
Sue : Oui. Avec un cheval, c’est plus facile de s’approcher et de s’éloigner de ta cible.
Wolt : Et bien, je suis sûr que ça dépend de chacun… Attends, as-tu réellement descendu de ton cheval et essayé de tirer depuis la terre ?
Sue : Je ne pouvais pas le savoir à moins d’essayer.
Wolt : Mais c’est dangereux ! Si tu fais quelque chose dont tu n’es pas habitué dans un combat, tu pourrais te faire tuer !
Sue : Non, pas en bataille. Je tirais seulement sur quelques arbres durant nos pauses.
Wolt : Ah…
Sue : Merci.
Wolt : ?
Sue : Merci de te préoccuper de moi.
Wolt : Et bien… Nous sommes alliés dans la même armée, non ?
Rang A :
Sue : Wolt ? Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’as plus de souffle.
Wolt : … Ouf, c’est définitivement difficile d’essayer de garder l’allure avec un cheval… Je veux dire, rappelles-toi comment tu as dit que c’était plus facile de garder ta cible en vue avec un cheval ? Alors…
Sue : Tu as essayé ?
Wolt : Je n’aurais pas pu le savoir à moins d’essayer. Tu te souviens ?
Sue : Comment cela s’est-il passé ?
Wolt : Et bien, je ne peux pas battre à la vitesse d’un cheval. Mais, je pense que c’est plus stable à pied, alors…
Sue : Je pensais que c’était dangereux d’essayer quelque chose dont tu n’es pas habitué dans un combat ?
Wolt : …Ah…Et bien, j’ai seulement essayé pendant un moment, alors c’est bon.
Sue : Si tu veux prendre d’avantage de vitesse avec un cheval, tu peux monter derrière moi.
Wolt : C’est bien avec toi ?
Sue : Par contre, je ne pense pas que tu sois capable de tirer très bien.
Wolt : Tirer très bien ? Je ne pourrais probablement même pas rester dessus ! Ouais… Je pense que je devrais rester par terre. Cela semble plus approprié pour moi.
Sue : Haha…Peut-être as-tu raison.
Rutgar - Fir
Rang C :
Fir : …Euh…Euh, excusez-moi, êtes-vous Rutgar ?
Rutgar : …que voulez-vous ?
Fir : Je me demandais si vous voudriez croiser le fer avec moi, si nous en avions la chance.
Rutgar : …...
Fir : J’ai aussi entraîné mes habiletés à l’épée, et j’ai gagné dans plusieurs arènes à travers le continent. Vous n’avez pas besoin d’y aller légèrement avec moi !
Rutgar : … Je refuse.
Fir : Pourquoi ? Est-ce parce que je suis une femme ?
Rutgar : … Lorsque je balance mon épée, je le fais pour tuer des gens. Je n’ai aucun intérêt à utiliser mon épée pour jouer.
Fir : ! Jouer !?
*Rutgar s’en va*
Fir : A-Attendez… ! …Il pensait que je jouais avec mon épée ? Je voulais apprendre de lui parce que sa lame est tellement précise et il n’a aucune hésitation…
Rang B :
Fir : Rutgar ! Nous combattons !
Rutgar : … Hors de mon chemin.
Fir : Non. Je ne vais pas bouger jusqu’à ce que vous compreniez que je suis sérieuse. Tirez votre épée ! J’étais sérieuse à propos d’entraîner mon jeu d’épée, et je ne vais pas tolérer que vous disiez que c’est simplement pour jouer. Et je veux devenir plus forte, alors je veux apprendre de vous.
Rutgar : …Je vous ai dit que j’utilise mon épée pour tuer les autres.
Fir : Oui, je sais. Mon but…
Rutgar : Si je dégaine mon épée ici, vous allez mourir. Est-ce là votre souhait ?
Fir : ! …
Rutgar : Et vous n’avez aucune intention de me tuer, n’est-ce pas ?
Fir : Et bien…
Rutgar : C’est pour ça que je dis que vous ne faite que jouer.
Fir : ……
Rutgar : ……
*Rutgar s’en va*
Fir: ...Je veux... ...Mais peut-être ai-je été impolie. Je devrais m‘excuser la prochaine fois que je le vois.
Rang A :
Fir : Rutgar. Attendez, je vous en pris ne me regarder pas comme ça… Je ne suis pas là pour me battre.
Rutgar : ……
Fir : Mais vos habiletés sont effectivement impressionnantes. Je vous vois encore comme un but à atteindre. J’aimerais être aussi forte que vous…
Rutgar : …Soyez seulement vous-même.
Fir : Quoi ?
Rutgar : Ma lame est couverte de sang. Vous n’avez pas besoin de voir ça comme but.
Fir : …… Quelqu’un m’a dit un jour… « Tous les chemins de l’épée mène à un endroit ». Tout de même je cherche encore si c’est vrai ou non, mais je peux dire que votre épée est définitivement sur un quelconque chemin. Mais j’ai encore beaucoup à apprendre.
Rutgar : … Pensez ce que vous voulez.
Sue - Roy
Rang C :
Roy : Pfiou, j’ai fini de voir les positions ennemies…
Sue : Sire Roy.
Roy : !? Ah, Sue.
Sue: Que se passe-t-il? Vous avez un drôle d’air sur votre visage.
Roy : Non, c’est juste que j’ai été un peu surpris de vous voir venir me parler.
Sue : Ah ?
Roy : Oui… Je ne vous ai jamais vu parler avec d’autres personnes. Vous n’aimez pas parler à ce point ?
Sue : Ce n’est pas le cas.
Roy : Ce ne l’est pas ?
Sue : C’est seulement que je préfère parler d’autres choses.
Roy : Autres choses ?
Sue : La brise, les arbres, le ciel, les ruisseaux… Ils nous parlent à tous.
Roy : Ils le font ?
Sue : Oui. Si vous écoutez, vous allez les entendre. Vous ne pouvez pas les entendre parce que vous n’écoutez pas. Au revoir.
Roy : Hein ? Je pensais que vous vouliez me dire quelque chose…
Sue : Je viens de vous le dire.
Roy : Quoi ?
Sue : Soyez certains d’écouter la nature, et vous allez entendre toutes sortes de voix. Vous allez vous sentir mieux après. Si vous êtes nerveux tout le temps, vous n’allez pas être capable d’entendre quoi que ce soit.
*Sue s’en va*
Roy : Sue… Essayait-elle de me remonter le moral parce que j’étais fatigué… ?
Rang B :
Roy : Sue.
Sue : Sire Roy.
Roy : Merci de m’avoir remonté le moral l’autre jour.
Sue : … Vous avez l’air d’aller mieux.
Roy : Quoi ?
Sue : Votre sens… il est devenu mieux.
Roy : Mon sens ? Que voulez-vous dire ?
Sue : Il est devenu plus doux.
Roy : Vous le pensez ? Je ne pourrais pas vraiment le dire.
Sue : Peut-être des choses comme celles-ci ne peuvent être reconnues par ceux qui travaillent la terre comparée à ceux qui courent à travers.
Roy : ……
Sue : Qu’est-ce qu’il y a ?
Roy : C’est la première fois que je vous vois sourire.
Sue : Vraiment ?
Roy : Oui. Votre sourire a un bon « sens » lui aussi.
Sue : …Merci.
Rang A :
Roy : Qu’allez-vous faire lorsque la guerre sera terminée ?
Sue : Je vais retourner à Sacae.
Roy : Mais le clan Kutolah a été détruit par Biran…
Sue : Nous allons regrouper du monde à nouveau. Peut-être n’y a-t-il plus de clan Kutolah, mais il y a des survivants de la tribu Kutolah.
Roy : Et bien… j’imagine que c’est bien.
Sue : Pourquoi le demandez-vous ?
Roy : Je pensais seulement que si vous n’aviez plus d’endroit où allez, vous pourriez venir à Pherae.
Sue : Pherae… votre ville natale.
Roy : Exact. Ce n’est pas une grande ville, mais il y fait bon de vivre et c’est un coin tranquille.
Sue : Oui… Mais mon cœur est dans les plaines de Sacae.
Roy : Ah, d’accord. Mais si jamais vous changeriez d’idée, faite moi le savoir.
Sue : Sire Roy.
Roy : Oui ?
Sue : Merci de me remonter le moral.
Roy : Vous êtes la bienvenue.
Saul X Dorothy
Rang C :
Dorothy : Ah! Vous voilà!
Saul : Ah, bonjour, Dorothy.
Dorothy : Où étiez-vous, Père Saul? Vous partez comme ça sans rien dire…
Saul : Je n’appelle pas ça « partir comme ça », Dorothy. Je ne faisais que mon travail de missionnaire dans les villages en cours de route.
Dorothy : …Faisiez-vous réellement votre travail ?
Saul : Évidemment. Par contre, pendant que je faisais mon travail, une jeune fille se faisait attaquer par une de ces brutes.
Dorothy : Vous parlez de vous ?
Saul : N’ai-je pas une once de confiance ? En tout cas, j’ai chassé l’homme et sauvé la jeune fille. Je dois l’admettre, j’ai agis exactement comme un saint homme devait.
Dorothy : Vraiment ? Vous n’êtes pas vraiment fort. Comment avez-vous fait ?
Saul : Je me suis dirigé vers l’homme et me suis accroché à lui en pleurant « Je pensais que nous nous aimions, et maintenant tu me rejettes ? »
Dorothy : …...
Saul : L’homme est parti en toute hâte. Par contre, la jeune fille avait elle aussi disparue quand je me suis retourné…
Rang B :
Dorothy : Père Saul ! J’ai entendu les rumeurs !
Saul : Que se passe-t-il, Dorothy ? Ne puis-je pas avoir un peu de paix et de tranquillité ?
Dorothy : Vous ne pouvez pas me berner avec cette attitude décontractée. J’ai entendu ce qu’ils disaient à propos de vous. Vous essayez de sortir avec toutes les filles dans cette armée.
Saul : Il doit avoir un malentendu. J’essayais seulement de leur parler de l’amour de Dieu…
Dorothy : Non, pas cette fois-ci !
Saul : Que veux-tu dire ?
Dorothy : J’ai déjà entendu cette excuse. Ne pouvez-vous pas trouver de meilleures excuses ?
Saul : Humm… Alors patientez un peu le temps que j’en trouve une.
Dorothy : À quoi cela sert-il d’en chercher une maintenant !?
Saul : … Dorothy, pourquoi te mets-tu dans tous tes états ? Cela se produit tout le temps.
Dorothy : C’est là qu’est le problème ! Les gens vont se méprendre sur l’Église d’Élimine s’ils vous voient tout le temps.
Saul : Je suis tellement insulté ! Je fais mon travail correctement, Dorothy. N’as-tu pas remarqué la grande croissance de nos membres féminins depuis quelques temps ?
Dorothy : Ne comprenez-vous pas ? Si vous demandez toutes les filles de sortir avec vous…
Saul : ?
Dorothy : …J’en ai assez ! Vous allez avoir beaucoup à écoutez ce soir lorsque vous reviendrez à l’église.
*Dorothy s’en va*
Saul : …
Rang A :
Saul : Dorothy…
Dorothy : Qu’est-ce qu’il y a ? Je n’ai toujours pas entendu une excuse valide pour l’autre jour.
Saul : Dorothy, je suis désolé… Je suis désolé de ne pas avoir compris tes sentiments…
Dorothy : … Hein ?
Saul : Je vois ce que tu voulais dire l’autre jour. Tu voulais dire « ? Si vous demandez à toutes les filles de sortir avec vous… Pourquoi ne le faites-vous pas avec moi ? »
Dorothy : Quo… !?
Saul : Dorothy, je n’ai jamais su que tu avais de tels sentiments envers moi…
Dorothy : Ah, euh, hum… C’-C’était seulement…
Saul : Mais je suis un serviteur de Dieu… Je dois être attentif pareillement pour toutes les femmes. Pardonne moi s’il-te-plait, Dorothy…
Dorothy : Hum…Hum, euh…je…
Saul: Comment cela sonnait-il, Dorothy ?
Dorothy : …Qu-Quoi ?
Saul : J’y ai réfléchis longuement, mais c’était la meilleure excuse que je pus trouver.
Dorothy : ……
Saul : L-La violence n’est pas appropriée, Dorothy… Notre Dieu aimant n’approuverait certainement pas que quelqu’un pointe son arc sur un allié…
Dorothy : Je m’en fous ! Vous ferez mieux de disparaître de ma vue avant que je vous tire dessus !
Saul : … Pourquoi es-tu en colère ?
Dorothy : C’est de votre faute !
Lance X Lott
Rang C :
Lance : Vous êtes Lott, le mercenaire. Un combattant à la hache, avec beaucoup d’endurance.
Lott : Vous… Vous êtes Lance.
Lance : Vous semblez être inquiet.
Lott : Oh… Je ne faisais que penser à quelque chose. En fait, j’en ai la chance. Laissez-moi vous demander quelque chose.
Lance : Si c’est quelque chose qui se situe dans mes maigres connaissances.
Lott : C’est bon, les haches sont faibles contre les épées. Ceci est de bon sens. Ce que je me demande c’est pourquoi est-ce comme ça. Je ne comprends pas les fondements derrière. C’est ce que je me demandais.
Lance : Je vois. Il y a quelques temps, j’ai posé la même question que vous. Je pense avoir trouvé la réponse après avoir cherché dans plusieurs livres de stratégie militaire.
Lott : Alors est-ce… le poids de l’arme?
Lance : Exactement. Parce que toutes les armes sont forgées en pensant qu’elles seront maniées par des humains, c’est inévitable que quelques faiblesses apparaissent.
Lott : Alors… C’est impossible pour une arme de te faire devenir très fort.
Lance : Voilà. Par le passé, de nombreuses sortes d’armes ont été créées, et ont disparues. Parmi elles, l’épée, la hache et la lance ont survécues, créant ainsi ce qui est connu sous le nom de triangle des armes.
Lott : Je vois. Mais attendez, et les armes comme la Brise-lame?
Lance : Et bien, cela nous amène dans une tout autre dimension. Alors…
Lott : …Ah, je vois… Mais à propos de…
Rang B :
Lance : Cavalier en F6.
Lott : Chevalier en E3.
Lance : Pégase en D1.
Lott : Euh…Archer en B1.
Lance : Bretteur en F1. Échec.
Lott : …… … Vous gagnez.
Lance : C’est ce que je vois.
Lott : …Pensez-vous que mon erreur a été de déplacé cette baliste il y a de cela six tours?
Lance : Oui, c’est ce que je pense. Où avez-vous apprit à jouer? Je l’ai apprit comme une des conditions pour devenir cavalier.
Lott : Il y avait un vétéran de guerre habitant d’où je viens. Il m’a apprit. Je ne pouvais trouver personne avec qui jouer dans les troupes de mercenaires. Mais face à ceux qui peuvent jouer, on dirait que je n’ai aucune chance.
Lance : Et bien, si vous pouvez trouver vos erreurs, cela prouve que vous avez du talent. Je jouais avec Allen l’autre jour, mais c’était fini en deux tours.
Rang A :
Lott : Comment voyez-vous cette bataille?
Lance : Que voulez-vous dire?
Lott : Pensez-vous que nous avons une chance de gagner?
Lance : …… Je n’ai honnêtement aucune idée. Et bien, nous sommes vraiment inférieurs en nombre. L’ennemi peut se permettre d’envoyer de nouvelles troupes n’importe quand, tandis que nous devons faire attention de ne pas perdre une seule troupe.
Lott : Ouais… Nos conditions de départ sont tellement différentes.
Lance : Mais Sir Roy pense quelques fois à des plans qui sont au-delà de mes insignifiantes pensées. Il a fait des miracles dans nos combats jusqu’à date. Sous sa direction, je sens que nous ne pouvons pas perdre. Sir Roy va définitivement nous mener à la victoire.
Lott : Je vois… … Vous n’êtes pas du genre à favoriser quelqu’un seulement parce que c’est votre commandant. Alors si vous le dites, c’est que ça doit être vrai. Alors je ferais mieux de commencer à y croire moi aussi… à la victoire et en notre chef.
Lance X Wolt :
Rang C :
Lance : ……
Wolt : Sir Lance?
Lance : … Je comprends maintenant.
Wolt : Euh… Sir Lance?
Lance : Ah, Wolt. Désolé, j’étais en train de penser à quelque chose.
Wolt : Vous ai-je dérangé?
Lance : Non, je suis arrivé à une conclusion. C’est correct maintenant.
Wolt : Je…vois.
Lance : Avais-tu besoin de quelque chose, Wolt?
Wolt : Oui. Je veux apprendre à vos côtés. Apprenez-moi à me battre comme vous, comme ça je pourrai être plus fort et protéger Sir Roy!
Rang B :
Wolt : Sir Lance? Que faites-vous?
Lance : Ah, Wolt. Je faisais un rapport du combat.
Wolt : Un rapport?
Lance : Oui. Dans un de mes livres préférés, il y a une citation d’un général célèbre. Ça dit « La chose la plus importante dans une bataille c’est l’information. » Alors, j’ai gardé en notes qui faisaient quoi à quel endroit, tant du côté de nos alliés que de nos ennemis. Cela pourrait être utile un jour.
Wolt : Je vois.
Lance : Dans les batailles qui s’en viennent, une seule erreur pourrait signer notre arrêt de mort. Nous devons faire attention à tous les aspects de la bataille sous les ordres de Sir Roy.
Wolt : O-Oui!
Lance : …Je n’ai plus de temps à perdre. Je dois y aller.
*Lance s’en va*
Wolt : Il est formidable… Je ne peux pas perdre moi non plus!
Rang A :
Wolt : Oh, Sir Lance.
Lance: Wolt. … Est-ce que ça va? Vos yeux semblent rougis…
Wolt : Oui ! Je vais bien. Je lisais le livre sur les stratégies militaires que vous m’avez prêté.
Lance : Et bien, c’est très bien. As-tu lis toute la nuit ?
Wolt : Oui !
Lance : Très bien, tu devrais être intéressé par ce texte. C’est par le même auteur, et il décrit ses idées en détail à travers 24 volumes.
Wolt : ……
Lance : Si tu lis ceci, alors tu devrais être capable de maîtriser les bases assez facilement. Après cela, nous pouvons aller dans des détails plus complexes… Wolt ? M’écoutes-tu ?
Wolt : …… O…Oui ! Évidemment ! Je vais faire de mon mieux…
Gonzales – Dayan
RANG C :
Gonzales : Hé... Qu'est-ce?
Dayan : Hum! ? Vous n'avez pas vu de saluts orientaux auparavant ? C'est un salut que nous utilisons pour la formation.
Gonzales : Puis-je faire ?
Dayan : Ça va. Essayez de tirer la corde.
Gonzales : Comme cela ?
Dayan : Hum!, vous êtes incroyablement fort. Un homme normal ne serait pas capable de le tirer.
Gonzales : "je je" suis fort.
Dayan : Maintenant, essayez de tirer une flèche.
Gonzales : ?
Dayan : D'abord, vous mettez une flèche ici...
Gonzales : Flèche mise ici...
Dayan : Maintenant lâchez.
Gonzales : Lâché... Argh.
*Gonzales tombe*
Dayan : Gonzales! Est-ce que vous allez bien ?
Gonzales : La flèche me frappe...
RANG B :
Dayan : Laissez-moi voir votre tête.Oui ... cela semble excellent maintenant.
Gonzales : Uh... Non plus de salut pour moi. Quel est ce cheval ? Couleur des chevaux étrange.
Dayan : Oh, ils sont différents des chevaux d’où vous venez, n'est-ce pas ? Nous pouvons survivre à Sacae grâce à ces chevaux. Nous n'avons aucun ennui maintenant avec les chevaliers étrangers.
Gonzales : "je je" veux aller... Gah.
*Gonzales gets kicked off the screen (??)*
Dayan : Gonzales! Est-ce que vous tout va bien? Les chevaux sont très sensibles aux personnes montant sur leur dos. Vous devez être prudent.
Gonzales :... Ow...
RANG A :
Dayan : Je suis désolé, Gonzales. Il semble que chaque fois que vous êtes avec moi, vous êtes blessés.
Gonzales : C'est bon.
Dayan : Ici, je vous demande d’accepter mes excuses et ce présent.
Gonzales : Qu'est-ce qui est cela ?
Dayan : C'est une coiffure que nous portons à l’hommage du clan Kutolah. Il ira à un guerrier excellent comme vous très élégamment.
Gonzales :... Merci.
Dayan : Prenez-le aussi. C'est un vin fait du lait de cheval. Nous, Sacaeans, le buvons aux festivités.
Gonzales : Je heureux. Je bois.
*Gonzales boit le vi,*
Dayan : Attendez, ne buvez pas autant...
Gonzales : Uh ? Uhhhhhhh ?
*Gonzales tombe*
Dayan : Gonzales! Pouvez-vous vous lever ? Ce vin est très fort. Vous ne devriez pas en boire tant immédiatement.
Gonzales : Uhhhhh...
Marcus – Wolt
RANG C :
Wolt: Sire Marcus!
Marcus : Ah, Wolt. Qu’est-ce qu’il y a?
Wolt : J'ai quelque chose à vous demander.
Marcus : Quelque chose à me demander, à moi ?
Wolt : Oui, pourriez vous... S'il vous plaît, pourriez-vous m'enseigner l’art de l’épée?
Marcus :!... Pourquoi demandes-tu cela ?
Wolt : Je ne peux seulement utiliser les arcs. Un archer meurt si il est pris en embuscade. Je ne serais pas capable de protéger Sire Roy si cela arriverait...
Marcus : Ce n'est pas vrai. Il y a certaines choses qui ne peuvent faites qu’avec un arc.
Wolt : Mais...
Marcus : En plus, apprenez-vous à être adroit maintenant, à votre âge ? Ton habilité ne ferait qu’entraver Sire Roy.
Wolt : Bien...
Marcus : Ne t’inquiète pas. Tu es d’une grande aide pour Sire Roy.
Wolt :... Je me demande...
RANG B
Wolt: Sire Marcus.
Marcus : Wolt... Je peux voir à ton visage que tu veux encore que je t’enseigne l’art d’être épéiste.
Wolt : Je ne suis pas d’accord. Suis-je vraiment utile à Sire Roy?
Marcus : Wolt... Que penses-tu des chevaliers du Seigneur Eliwood ?
Wolt : Eh... ? Bien... Vous êtes tous vraiment forts et je vous admire.
Marcus : Bien, c'est gentil d'entendre cela. Enfin, il y a un problème avec nous en tant que chevaliers d'Eliwood.
Wolt : Un problème ?
Marcus : Aucun de nous n'était près de son âge.
Wolt :!
Marcus : Les vassaux de seigneur Eliwood... Ils étaient tous vieux comme moi ou bien plus jeunes que lui. Il n'avait personne pour plaisanter, personne pour parler de ses inquiétudes avec. Il luttait toujours tout seul.
Wolt : Toujours tout seul...
Marcus :Jje ne veux pas que de Sire Roy subisse le même sort. Toi et Sire Roy avaient le même âge, vous êtes donc une sorte de « jumeaux ». Donc je veux que tu restes aux côtés de Sire Roy et que tu lui donnes du soutien moral.
Wolt : Soutien moral ?
Marcus : C'est ça. Le combat, dans la bataille, est important, mais il n’y a pas que ça pour montrer votre loyauté. Penses-y.
RANG A
Marcus : Ah, Wolt. Tu ne sembles pas dérangé. Bien, veux-tu encore que je t’enseigne comment brandir une épée ?
Wolt : Non, après avoir entendu vos paroles, je me suis débarrassé de mon hésitation. Je vais parfaire mes connaissances avec mon arc et je me formerai pour que Sire Roy puisse compter sur moi !
Marcus : Très bien. Avec cette attitude, il semble que je puisse te permettre de commander pour moi.
Wolt : Quoi! ? M-Mais si vous partez maintenant...
Marcus : Calmes-toi, je n'ai pas dit tout de suite. Enfin, ce sera pour bientôt. Dès que je partirai, tu devras t’occuper de Sire Roy, d’accord ?
Wolt : Moi... ?
Marcus : Prendre la place d’un vieil homme comme moi est-il embarrassant ?
Wolt : Non, ce n'est pas cela... C'est juste que je ne peux... vraiment le faire...
Marcus : Tu dois prendre confiance en toi. Tu inquiéterais Sire Roy avec une attitude comme ça.
Wolt : Oui...
Marcus : Tu peux le faire. Aie confiance en vous!
Oujay – Lilina
RANG C
Lilina : Bonjour, Oujay.
Oujay : L-Lady Lilina!
Lilina : Oh, ne sois pas si tendu... Je veux juste discuter avec des gens venant de Ositia.
Oujay : Um... d'accord.
Lilina : Parle-moi. Voyons... Parle-moi de ta ville natale.
Oujay : Ma ville natale ? Bien... C'était juste un village ordinaire. Nous étions pauvres... La raison pour laquelle je suis venu à la ville était de me faire de l'argent pour nourrir mes frères...
Lilina : Tu as des frères ? Comme c’est agréable. As-tu des soeurs?
Oujay :... J'ai une soeur qui est un peu plus jeune que moi.
Lilina : Vraiment ? A quoi ressemble-t-elle? Est-elle mignonne ? Elle te ressemble?
Oujay : Je... J'étais jeune, donc je ne me souviens pas vraiment. Mais je me souviens encore de tenir sa main. Sa main... c'était si petit et fin.
Lilina : C'est si beau... J’ai toujours une sœur cadette, aussi.
RANG B
Lilina : Oujay, comment ta soeur va-t-elle ?
Oujay :......
Lilina : Est-elle à la maison ? Où est-elle partie à Ositia avec toi? Si elle là-bas, je voudras la rencontrer...
Oujay : Je suis désolé, Lady Lilina, mais...
Lilina : Dis-moi. J'aimerais la rencontrer.
Oujay : Je ne peux pas...
Lilina : Comment? Pourquoi... ?
Oujay : Lady Lilina... Notre village était très pauvre.... Ce sont les hommes qui deviennent riches. Les filles n'ont... aucun droit. Nous n'avons pas de pain supplémentaire, non plus, ainsi... Quand une fille est née dans une famille pauvre, nous lui mettons de jolis vêtements et la quittons dans une ville lointaine.
Lilina :......
Oujay :... Nous étions pauvres. Je n’en veux pas à ma famille. Si nous n'avions pas fait ce que nous avons fait... nous serions morts de faim.
Lilina : Je suis désolée…
Oujay : Lady Lilina ?
Lilina : Je suis désolé... Je ne savais... rien... Je ne savais rien... et moi... Je juste...
Oujay : Ne-Ne pleurez pas! S'il vous plaît, Lady Lilina...
RANG A
Oujay : Lady Lilina, au sujet de l'autre jour... Je suis désolé. J'ai dit plus que je devais.
Lilina : Oujay.
Oujay : Oui ?
Lilina : Je suis désolée, j'ai été si stupide. Mais je ne veux pas rester ignorante. En ce moment, je ne connais rien à la politique de notre pays, mais j'apprendrai. Je rendrai Ositia un pays dans lequel nos enfants pourront toujours être heureux.
Oujay :... Lady Lilina, ne vous tracassez pas s'il vous plaît. Mes frères vont parfaitement grâce au marquis Ostian. Même Dieu ne peut pas sauver tous les gens.
Lilina :......
Oujay : Mais je peux vous dire cela, Lady Lilina... Ma soeur, où qu'elle soit... Elle vous aurait beaucoup aimé.
Lalum – Oujay
RANG C
Lalum : Hmm... J'ai besoin de travailler un peu plus sur mes tournoiements...
Oujay : Oh...
Lalum :! ? Hé! Vous avez vu mon entraînement secret!
Oujay : N-Non! Je n'ai rien vu!
Lalum : Cela n'a pas d'importance! Je ne peux pas vous permettre de partir vivant, maintenant que vous m'avez vu. Pour un artiste de cabaret, être vu quand l’on fait une danse spéciale, cela signifie la mort!
Oujay : Mo-mort ?
Lalum : Attendez, qui êtes-vous au juste? De toute façon, cela est embarrassant!
Oujay : Je suis désolé, vraiment. Je ne savais pas.
Lalum : Hum... Bien, je devine que ce qui est fait est fait. Hé, si vous avez vu ma danse, vous pourriez me dire aussi comment c'était. Qu'en avez-vous pensé ?
Oujay : Uhm... Bien, c'était vraiment joli. Bien que ce soit un peu...banal.
Lalum : Le pensez-vous? Vous savez, la partie principale de cette danse doit venir encore. Cela devient vraiment stupéfiant vers la fin.
Oujay : Hou la...Vraiment?
Lalum : Hé! Vous médisez de moi, n’est-ce pas?
Oujay : N-Non non!Pas du tout!
RANG B
Lalum : Hmm…
Oujay : Oh, Lalum.
Lalum : ? Oh, vous êtes le gars qui m’espionnait.
Oujay :... C'est un malentendu...
Lalum : Bien, vous avez aimé ma danse, donc je vous pardonnerai.
Oujay : Vous aimez vraiment danser, hein ?
Lalum : Je le devine. Il est amusant. Je rencontre beaucoup de gens quand je voyage et ils aiment tous ma danse. J'aime ce genre de chose.
Oujay : Je vois.
Lalum : Hé, je sais. Voulez-vous que je vous montre le reste de la danse de l'autre jour ?
Oujay : V-Vraiment ?
Lalum : Voulez-vous voir ? Vous voulez, n'est ce pas ? Dites-moi alors que vous le voulez.
Oujay : Je... Je veux le voir.
Lalum : Ah bien, je suppose que je peux vous le montrer. C'est la sixième des sept danses que j'ai maîtrisé jusqu'ici. Et on l'appelle...
Oujay : On l'appelle... ?
Lalum : Danse Numéro 6.
Oujay : Oh. C'est presque ordinaire....
Lalum : Hé! Vous êtes déçu pour l’instant.
Oujay : N-Non! Je ne le suis pas.
Lalum : Oui, vous l’êtes.
Oujay : Non, je ne le suis pas!
Lalum : Si, sûr! Non, j’ai changé d'avis. Je ne vous le montrerai pas!
Oujay : N-Non...
RANG A
Oujay : Lalum!
Lalum : Comment? Oh, je sais. Vous voulez juste voir si la danse est pas mal, n'est ce pas ?
Oujay : Votre danse... Je crois que je l'ai vu auparavant quelque part.
Lalum : Hein ? Vous l’avez vu ?
Oujay : Ouais. Une petite bande d'artistes de cabaret s'est arrêtée une fois à mon village quand j'étais plus jeune. Je suis allé les regarder... et une petite fille dansait au centre. Elle a trébuché quelques fois et a fait quelques erreurs, mais elle travaillait vraiment durement. Je ‘nétais aps très bien, mais la danse de la jeune fille m'a encouragé.
Lalum : Hmm... Je ne m'en souviens pas.
Oujay : Je ne pense pas. Mais c'était vraiment agréable. Vous encouragez probablement beaucoup de gens avec votre danse, où que vous alliez.
Lalum : Vous êtes embarrassants maintenant! Mais merci, Oujay. Dites-vous que je vous montrerez une de mes danses spéciales une fois...
Oujay : Spéciale... ?
Lalum : C'est vraiment stupéfiant!
Oujay : Hou la... C'est quelle danse ?
Lalum : Hé! Vous médisez encore, n'est-ce pas ?
Oujay : N-Non! Vraiment pas!
Bartre – Zeiss
RANG C
Bartre : Hmph... Donc c'est un wyvern. Il a un visage défendant.
Zeiss : Vous êtes... Bartre.
Bartre : Oui. Jeune homme, vous opposez-vous si je le touche ?
Zeiss : Bien, peut-être pas maintenant...
Bartre : Hm... ? Hmm! ? Mais vous... Vous voulez lutter contre moi, non! ?
Zeiss : Mais non, arrêtez-vous!
Bartre :......
Zeiss : Je suis désolé, il est sur ses gonds depuis que nous avons fini l'entraînement... Avez-vous mal?
Bartre : non, ça va aller. Dites, jeune homme, vous avez un peu de talent. Vous avez apprivoisé cette bête à votre jeune âge.
Zeiss : Non, n'importe quel Chevalier de Dragon peut faire beaucoup mieux...
Bartre : Ne vous rabaissez pas comme ça. Je peux dire que vous avez du talent. Ah, oui, vous avez dit que vous vous étiez entraîné ?
Zeiss : Oui, j'ai essayé de recevoir un peu plus de vitesse dans mon offensive.
Bartre : Hum, vous êtes déjà un Chevalier de Dragon vigoureux, mais vous cherchez à devenir encore plus fort ? Maintenant vous êtes un homme réel. Je vous souhaite de la chance!
RANG B
Bartre : Ah, jeune homme. Avez-vous continué votre entraînement ?
Zeiss : Oui.
Bartre : Oui, très bien. Les hommes doivent toujours être fort dans le corps. Je le dis, les hommes ces jours-ci deviennent plus doux, de plus en plus doux. Mais lord des batailles, je vois des hommes qui ne pensent qu’à séduire les femmes! Honteux.
Zeiss : Oui... Nous devons devenir plus fort encore.
Bartre : Oui, je suis d'accord... Vous voyez, ma fille est partie de la maison récemment et je me suis étonné que peut-être ce soit parce que je n'ai pas fait respecter assez de discipline sur elle comme un père... Cela me tracasse depuis quelques jours maintenant.
Zeiss : Je, uh... Je suis désolé de l'entendre.
Bartre : Ah, il est toujours bon de parler avec quelqu'un qui comprend!
RANG A
Bartre : Zeiss.
Zeiss : Oui ?
Bartre : Il semble que nous suivons le même chemin. J'estime que je peux faire sortir ma vraie force quand je lutte avec vous.
Zeiss : Oui, je peux lutter aussi sans soucis quand vous êtes autour de moi. Ca ressemble... à quelque chose de grand, me protégeant.
Bartre : Hm, si j'avais un fils, je l'aurais élevé comme un jeune homme parfait comme vous. Vous êtes effectivement comme ma fille.
Zeiss : Uh... Merci.
Bartre : Dorénavant, considérez-moi comme votre père et n'hésitez pas à me dire n'importe quoi. Cela te va-t-il, mon fils ?
Zeiss : Uh, ouais... Merci beaucoup.
Zealot – Thany
RANG C
Thany: Zealot!
Zealot: Thany.
Thany : Hé Zealot... Attendez oh, vous êtes maintenant mon frère parce que vous êtes le mari de Yuno...
Zealot: Tu peux m'appeler comme tu veux.
Thany : Oh, bien! J'ai voulu te demander quelque chose. Comment as-tu rencontré Yuno ?
Zealot : Bien... Peut-être une autre fois.
Thany : Pourquoi ? Ne fais pas les petits bars. Dis-moi Allez!
Zealot: Non, je ne peux pas... Tu comprendras quand tu grandiras, mais tu ne devrais pas demander des choses comme ça...
Thany : Mais je veux vraiment savoir... Comme ma soeur, je devrais savoir ces choses...
*Zealot part*
Thany: Zealot? Attends!
RANG B
Thany: Zealot!
Zealot : Tu ne me lâcheras pas, n’est-ce pas ?
Thany : Mais je suis de ta famille. Je veux être au courant de tout...
Zealot : Hm... D'accord, je suppose.... Nous nous sommes rencontrés d'abord lors d’une bataille à Etruria. L'escouade pegase de Yuno a été engagée par le côté ennemi.
Thany : Ho...
Zealot : J'ai essayé d'installer les choses paisiblement au cours de la discussion. Yuno était une femme belle et compatissante, donc les choses sont allées toute seules. Et ensuite, les choses ont progressé après cela.
Thany : Quelle proposition lui as-tu fait ?
Fanatique : T-Tu veux que je te dise autant de choses?
Thany : Oui. Je suis ta famille n’oublie pas... non ?
Zealot: Er...
Thany : Etait-ce toi qui l’a demandé? Ou était-ce Yuno ?
Zealot: Bien...
RANG A
Thany : Je suis heureuse de voir que tu te sois révélé être une bonne personne. Toi et Yuno semblez être heureux ensemble.
Zealot : Merci. Je suis soulagé que tu ne m’es pas détesté.
Thany : Pourquoi te détesterais-je ? Tu es fort, gentil... Et en plus tu es l’homme que Yuno aime.
Zealot : À propos... Et toi ? As-tu quelqu’un dans ta tête?
Thany : Désolé, c'est un secret!
Zealot : Par-Pardon? Après m'avoir fait avouer autant, tu ne me dis rien?
Thany : Nous sommes de la même famille. Les membres d’une famille doivent avoir quelques secrets!
Zealot : A-Attends, Thany!
Thany : J’y vais!
Thany – Lott
RANG C
Lott : Thany, ne pars pas devant souvent comme maintenant. Ton pégase est la proie des archers.
Thany : Ouais, je sais.
Lott : Et tu es fragile, assure-toi ainsi de te retirer si ça ne va pas.
Thany : Uh-huh.
Lott : Et...
Thany : Lott! Tu es un guerrier. Je suis un chevalier, tu sais.
Lott : Mais tu n’es qu’un chevalier en entraînement.
Thany : Bien, ouais, mais...
Lott : Souviens-toi de toujours être prudente lors d’une bataille. La meilleure route est de rester en vie est de toujours être prudente.
Thany :... Oui, monsieur.
RANG B
Lott : Thany, pourquoi vas-tu toujours en chargeant dans cette situtation?
Thany : Mais Lott...
Lott : Aucun mais. Tu sais, tu devrais être plus...
Thany :... Lott ?
Lott : ?
Thany : Comment ça se fait que tu sois toujours si inquiet pour moi ? Attends oh, je sais. Aww, je ne savais jamais que tu m’aimais bien!
Lott : Ouais, si tu veux.
Thany : Alors pourquoi ?
Lott :... J'ai une petite soeur à la maison.
Thany : Une soeur ? Ressemble-t-elle à moi ou à quelqu’un d’autre ?
Lott : Non, pas du tout.
Thany : Alors...
Lott : Elle est beaucoup plus jeune que toi. Elle n'a même pas dix ans encore. Donc je deviens réellement inquiet quand…
Thany :......
Lott : Thany, tu es une soeur aînée, n’est-ce pas?
Thany : Ouais, non seulement une mais deux.
Lott : Occupe toi en alors, pour le bien-être de tes soeurs. Imagine comment elles seraient si il t’arrivait quelque chose de mal….
Thany : Ouais... tu as raison. Je serai plus prudente.
RANG A
Thany : Hé, Lott!
Lott : Thany. Tu sembles faire des efforts ces dernier temps.
Thany : Vraiment? Je suis plus prudente maintenant, n'est ce pas ? Je ne me dépêche plus de foncer sur les enenmis.
Thany : Tu grandis, juste 'comparée à auparavant,' hein... Oh ouais, j'avais quelque chose à te dire aussi.
Lott : Quelque chose à me dire ?
Thany : Ouais. Les choses à changer pour toi lors d’une bataille! Veux-tu écouter?
Lott : Bien, ouais.
Thany : Alors approche ton oreille.
Lott : Ouais, comme cela ?
Thany :... Ne te surmène pas trop, grand frère.
Lott : Quoi...!
Thany : Et c'était la petite soeur mignonne de Lott!
Lott : Hé! Thany!
Thany : Hahahaha!
Yuno – Noah
RANG C
Yuno : Oh, Noah.
Noah : Bonjour, Lady Yuno. Allez-vous bien?
Yuno : Vous êtes inquiet pour moi ? Quelle surprise.
Noah :... Je ne suis pas qu'asocial, Lady Yuno...
Yuno : Je rigolais. Vous semblez être asocial, mais au fond, vous avez un coeur gentil. Etes-vous d’accord? Vous avez combattu divers fois jusqu’ici, n'est ce pas ?
Noah : Oui. Le Général Zealot nous a beaucoup aidé. C'est grâce à lui que je suis vivant en ce moment.
Yuno : Je vois... Il s’active toujours dans la bataille...
RANG B
Yuno : Sigune... Elle avait rejoint Biran.
Noah : Oui. Elle nous a tendu une embuscade dans la tempête de neige avec son escouade de chevalières pégases.
Yuno : Je vois... Sigune et moi avions l'habitude d'être des rivales, vous savez. Nous rivalisions toujours l'une avec l'autre. Tout cela semble si... lointain quand je m'en souviens maintenant.
Noah :......
Yuno : Sigune essayait toujours de mal agir, mais elle était vraiment une personne de cœur. Si seulement nous n'étions pas aux temps comme cela, nous pourrions avoir... La guerre est une chose pénible.
Noah :... Oui. Mais c'est comme ça que la guerre est
RANG A
Yuno : Noah.
Noah : Oui ?
Yuno : Vous semblez éviter de développer des rapports proches. Est-ce parce que vous ne voulez pas souffrir? Perdre cette personne ?
Noah :... Je me le demande. Il est facile d’éviter d’être d’accord avec quelqu’un. Plus serré est l’obligation, plus grande est la souffrance quand cette obligation se brise.... Je crois que vous savez mieux que n'importe qui d'entre nous.
Yuno : Oui... Peut-être est-il mieux de vivre comme vous à Ilia. Mais viendra là un temps où vous vous rendrez compte que les rapports proches ne sont pas tous mal. Peut-être comprendrez-vous lorsque vous tomberez amoureux de quelqu’un.
Yuno – Thany
RANG C
Thany : C'est ma grande soeur Yuno!
Yuno : Thany. Vas-tu bien?
Thany : Oui! Vraiment bien.
Yuno : Cela fait déjà un an que je ne t’ai pas vu... Es-tu parti avec les membres de la bande intéressante ? J'ai entendu dire qu'ils étaient tous des hommes, mais est-ce vrai?
Thany : Ouais, c’est vrai! Ils sont tous des gens vraiment agréables. Et j’ai bien combattu lors des batailles, aussi! J’étais celle qui faisait le plus de travail.
Yuno : Vraiment ?
Thany : Et ensuite! Après que nous avions adhéré avec Sire Roy, les ennemis ont commencé à devenir plus forts... Mais tout de même c'est comme si je les avais tous vaincus!
Yuno : Hou la... C'est stupéfiant. Tu as travaillé dur, Thany...
Thany : Teehee...
RANG B
Thany : Yuno!
Yuno : Qu'est-ce que c'est, Thany ?
Thany : Enseigne-moi comment monter un pegase comme toi. Votre vol est vraiment parfait. Je regrette que je ne puisse pas voler comme ça...
Yuno : Je voudrais bien, mais pas maintenant. Nous sommes au coeur d’une bataille. Je peux te l’enseigner quand nous aurons du temps libre...
Thany :... Oh. Alors pratiquons notre mouvement!
Yuno : Mouvement... ?
Thany : L’attaque en Triangle!
Yuno : Oh, ce mouvement dont Mère avait l'habitude de nous apprendre... Mais nous avons besoin de Tate pour faire l'attaque en Triangle.
Thany : Oh... oui. Alors, hum...
Yuno : Qu'est-ce qu'il y a, Thany ?
Thany : Nous nous sommes rencontrés après une longue période, n'est ce pas ? Je ne veux pas être séparé de nouveau...
Yuno :... Vous aviez l'habitude toujours de rester fidèles comme ça depuis que vous êtes petites. Thany, je veux que tu soies une bonne fille et d’attednre jusqu'à ce que la guerre soit finie. Alors tu pourras être près de moi mais cependant beaucoup voudront...
Thany : Ouais... vous avez raison. Bien!
RANG A
Thany : Yuno!
Yuno : Thany. Je ne t’ai encore rien dit encore, mais...
Thany : Quoi?
Yuno : Pendant que vous étiez loin, j’ai eu une fille.
Thany : Pardon! ? Un bébé avec Zealot! ? Où, où est-elle ? Je veux la porter...
Yuno : Je ne peux pas l’apporter au champ de bataille, Thany. Je l’ai confié aux nurses à la maison. Tu pourras la voir quand nous irons à la maison.
Thany : Yay! Ton bébé... elle doit être si mignonne! Oh, je veux vraiment la voir.
Yuno : Tu vas la voir, il ne faut pas s’inquiéter.
Thany : Attendre... Alors... Cela me fait... tante ? Mais je suis si jeune encore...
Lilina – Wendy
RANG C
Lilina : Bonjour, Wendy.
Wendy : Lady Lilina... Restez s'il vous plaît près de moi. Je vous protégerai de ma vie.
Lilina : Mer-merci... Cette armure... C'est un accomplissement. N'est-ce pas lourd pour une fille ?
Wendy : Non, ma dame. Le poids de l'armure d'un chevalier est un symbole de sa loyauté.
Lilina : D'accord... Mais ne fais pas trop d’efforts.
Wendy : Merci beaucoup Lady Lilina.
Lilina : Pourquoi es-tu devenu un Chevalier en Armure ? As-tu voulu devenir comme Bors ?
Wendy : Oui... Devenir comme mon frère est un but que je poursuis. Je veux vous protéger comme mon frère fait, Lady Lilina.
RANG B
Lilina : Wendy.
Wendy : Oui, Lady Lilina ?
Lilina : Causons un peu. Raconte-moi ta vie.
Wendy : Oui. Je suis un Chevalier d'Armure d'Ostia...
Lilina : Non, pas les choses comme ça... Par exemple, as-tu un homme dont tu as bien envie ? Wendy : Un... homme ?
Lilina : Oui.
Wendy : Je ne sais pas vraiment...
Lilina : Comment?
Wendy : Je me suis concentré toujours sur mon but premier, être aussi forte que mon frère... Je n’ai jamais pensé vraiment aux choses comme ça...
Lilina : Je vois... Parlons de quelque chose d'autre, alors. Nous sommes toute les deux des filles dans la même armée qui l’ont rejoint au même endroit. Je veux en savoir plus sur toi.
RANG A
Wendy : Lady Lilina, vous êtes un quelqu’un de bizarre.
Lilina : Bizarre ? Pourquoi ?
Wendy : Vous êtes une noble, pas comme nous... Mais vous venez au front pour nous parler avec un sourire sur votre visage. Cela semble... bizarre.
Lilina : Penses-tu ainsi ? Je veux juste être amie avec toi.
Wendy : A-amies ? Je ne crois pas que ce soit possible, ma dame... Vous êtes ma maîtresse!
Lilina : Cela ne fait aucune différence. Vous êtes la seule fille de mon âge qui est dans le même entourage que moi. Ne nous inquiétons pas au sujet de qui est le maître et le soldat...
Wendy : Lady Lilina! Vous portez l'avenir d'Ostia sur vos épaules. Vous vous distinguez de nous. Vous pensez que c’est possible?
Lilina :... Donc nous ne pouvons pas être des amies ?
Wendy : Je suis désolée. Mais je vous suis très reconnaissante. Peut-être nous ne pouvons pas être des amies, mais me permettez-vous de discuter avec vous quelques fois?
Lilina : Évidemment!... Merci, Wendy.
Wendy – Barth
RANG C
Wendy : Sire Barth! Ca va?
Barth : Évidemment. Je ne perdrais jamais contre de tels ennemis chétifs.
Wendy : Oui, évidemment.
Barth : Je ne vous le demanderai pas si j’en étais sûr, non plus. Nous les chevaliers Ostians ne perdrons jamais.
Wendy : Oui.
Barth : Je suis heureux que vous me guettiez, mais vous devriez être inquiets de vous avant de s'inquiéter des autres.
Wendy : Oui..
RANG B
Barth : Qu'est-ce qu'il y a, Wendy ? Vous haletez. Un chevalier Ostian ne serait pas dans votre état lors d’une bataille aussi facile.
Wendy : Oui, je suis désolé.
Barth : Souvenez-vous de notre entraînement, Wendy! Vous ne vous souvenez pas comment nous avons marché à pleine vitesse sur cette montagne ? Ce n'est rien comparé à cela!
Wendy : Oui!
Barth : Montrez à l'ennemi la colère des chevaliers Ostians!
Wendy : Oui! J’y vais!
RANG A
Barth : Wendy.
Wendy : Sire Barth, comment puis-je améliorer mes connaissances?
Barth : Vous êtes déjà un véritable chevalier Ostian, Wendy. Je n'ai rien à vous apprendre.
Wendy : Marci! Mais... Monsieur Barth... Pouvez-vous dire... quelque chose ?
Barth : Quelque chose ? Pardon?
Wendy : Hum... Je suis sûr qu’il y a encore du travail, ainsi...
Barth : Non. Dorénavant, vous devrez juger votre propre personne.
Wendy : Mais...
Barth :... Qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi semblez-vous si découragée ?
Wendy : Je... Je veux que vous m'enseigniez plus...
Barth : ?
Wendy : Ne faites pas... Ne me quittez pas, Sire Barth...
Barth : Hein ? De quoi parlez-vous ? Nous sommes maintenant des camarades luttant ensemble. Je ne vous quitterais pas.
Wendy : Vraiment ?
Barth : Évidemment.... Nous avons perdu assez de temps en parlant comme cela. Continuons, Wendy!
Wendy : Oui!