Chapitre 8 :
Partie 1 :
Chapitre 8 :
Instant critique
Mia s'arma immédiatement de son fusil d'assaut tandis que Roberto, lui s'arma d'un simple fusil à canon scié et tout deux se dirigèrent à l'hôpital tandis que la bataille venait d'éclater. Lorsqu'ils entrèrent dans la chambre d'hôpital de Bastian, ils furent surpris que seul un médecin soit rester auprès de lui :
- Nous sommes partie dès que nous avons sût, expliqua Roberto.
- Pourquoi n'êtes-vous pas sur le champ de bataille ?, demanda le médecin.
- Pour lui.
Le médecin sorti un revolver avant de le pointer vers son patient :
- Très bien, ma famille risque sa vie sur ce champ de bataille, vous allez devoir immediatement les aider à moins que vous ne vouliez que votre ami meurt, exigea le médecin.
- Vous n'oseriez pas, déclara Roberto.
- Arrête Roberto, tu ne sais pas de quoi cet homme est capable, expliqua Mia.
- Vous feriez mieux d'écouter votre amie, expliqua le médecin tandis qu'il raprochait délicatement son arme du crâne de Bastian.
- Vous bluffez, continua Roberto.
- Vous avez raison, expliqua le médecin avant de pointer son arme vers le bras de Roberto et de tirer.
Roberto s'effondra de douleur tout en serrant son bras ensanglanté.
De retour à nos jours, Ehouarm, qui venait d'être mis au courant des propos d'Antime par Maure dont il venait de prendre le contrôle, entra immédiatement dans la salle du trône. Arthémon, Valdenar et Virginien sortirent immédiatement leurs armes et se préparèrent au combat tandis qu'Antime se retournait vers Ehouarm et que Valens tentait désespéremment de convaincre ses alliés qu'Ehouarm était un homme bien :
- Vous n'allez tout de même pas prendre ce qu'Antime dit pour la vérité ?, demanda Maure toujours contrôler par Ehouarm.
- Si, tuez-le !, ordonna tout de même Arthémon.
Virginien se prépara à tirer sur Ehouarm mais Valens s'interposa sur la trajectoire de la flèche et Virginen n'eut d'autre choix que de remettre sa flèche dans son carquois et d'envoyer Valens valser d'un coup avec son arc. Au même moment, Maure disparut dans un nuage de fumée avant de réaparaître derrière Arthémon avec son couteau placer sous la gorge de sa victime mais elle le lâcha immédiatement après qu'Antime n'eut tirer une flèche sur le mur derrière elle.
Antime accrocha Maure au toit de la pièce d'un mouvement du bras grâce à sa maîtrise de la magie noir mais Valens qui se relevait du coup que lui avait infliger Virginien, lui asséna un coup de couteau dans le bras ce qui eut pour effet qu'il lâche Maure jusqu'à ce qu'elle attérisse dans les bras de Valens.
Ce dernier reposa à terre complètement gêné et écarlate, la jeune assassine avant de s'en écarter pour reprendre son combat face à Antime, Arthémon et Virginien. Pendant ce temps, au tribunal, tandis qu'Ildut, Emilienne et Meddy attendait depuis plus d'une demi-heure le début du procès, un cri ce fut soudainement entendre. Ildut et Meddy sursautèrent immédiatement de leurs sièges et se dirigèrent en courant vers l'origine des cris avant qu'Émilienne n'arrive également. Là-bas, ils firent face à un terrible spectacle qu'ils n'avaient jamais cru possible : Marinaëlle était pendu au milieu du placard vide où elle se préparait pour faire son entrée.
Émilienne fut la première à sortir de la pièce, elle se dirigea vers l'extérieur du tribunal avec un air apeuré. Meddy l'avait suivit des yeux pendant tout son parcours vers l'extérieur comme s'il avait l'intention de la tuer. Cependant, il était loin de se douter qu'une force extérieur l'observait avec les mêmes intentions. Émilienne arriva en face d'un escalier qui descendait sous terre avant de demander à voix haute :
- C'est toi qui l'as tuer, pas vrai ?
Une silouhette cachée dans l'ombre lui répondit :
- J'ai fait le nécessaire pour que tu vive...
- Hélas cela ne va pas suffire : Meddy s'approche un peu de trop près d'Ildut et il semblerait qu'Antime se soit déjà infiltrer dans le château d'Arthémon.
- Je sais, j'avais justement l'intention de m'en débarasser mais il faut agir prudemment si on ne veux pas se faire repérer.
Des bruits de pas se firent soudainement entendre non loin de là avant qu'Émilienne ne commente :
- On dirait que nous avons de la visite
Un an plus tôt, tandis que le sang coulait à flot du bras de Roberto, Mia demandait :
- Qu'est-ce que vous avez fait ?
- Vous voyez, ceci s'appelle une veine, c'est par là que circule le sang, répondit le médecin, maintenant, faites-moi plaisir et retournez sur le champ de bataille.
- Après ce que vous avez fait ?, répondit Mia
- Sort... de la... pièce, je vais... m'en charger..., marmona Roberto en se relevant
- Je... je ne peux pas te laisser là, ni toi, ni Bastian !
- La ferme ! La vérité c'est que... je... je t'aime et je ne veux pas que tu risque ta vie pour moi...
- Très bien, maintenant c'est dit, retournez sur le champ de bataille bon sang, ma famille ne tiendra plus très longtemps !
- Nous sommes venus pour Bastian, nous ne repartirons pas sans lui et même si nous partions, je doute que nous serions rester ici, expliqua Mia
- Bien, dans ce cas là, vous venez de signer votre arrêt de mort !, expliqua le médecin.
Il chargea son arme, la pointa sur Bastian mais au moment où il allait appuyer sur la gachette, Bastian s'empara d'un des nombreux objets tranchants de la chambre d'hôpital et trancha délicatement la gorge de son opposant avec colère. Il saisit Bastian et le fit sortir de la chambre avec l'aide de Mia mais ils furent brusquement interrompus lorsque une balle de sniper vint traverser la vitre qui se trouvait à côté du lit d'hôpital.
Chapitre 9 :
Partie 1 :
Chapitre 9 :
Sans foi ni loi
La balle qui avait toucher la vitre de la chambre d'hôpital de Bastian n'était qu'un début, l'hôpital fut très vite encerclé par l'ennemi. Les Tacelesiens avaient déjà pris l'escalier et par conséquent, Mia et Roberto prirent donc l'ascenceur mais ils tombèrent sur le chef de l'armée adverse. Ce dernier donna un coup avec sa canne sur le sol, cigare dans la bouche, avant de déclarer de sa voix grave et grisante :
- J'éspérais sincèrement tombez sur des survivants histoire de m'amuser une dernière fois avant la fin de la bataille et... Oh, je vois que vous avez avec vous un homme blesser et donc inapte à se battre... Bien, tâchons de le reveiller un petit peu avant de vous torturer à mort.
L'homme frappa Roberto et Mia avec sa canne. Cela eut pour effet que les trois amis dont Bastian, toujours inconscient, tombèrent à terre. Le général ennemi leva ensuite sa canne avant de frapper plusieurs fois de suite Bastian de toutes ces forces lorque soudain, Mia se saisit du fusil d'assaut qu'elle avait laisser à l'entrée de la chambre de son frère.
De retour à nos jours, Émilienne s'empressait de se diriger vers la personne qui avait interrompu sa conversation avant de se rendre compte qu'il s'agissait en fait d'une de ses amies de l'époque où elle était à la tête de l'Adventure World :
- On dirait bien que Marinaëlle est morte..., commença-t-elle.
- Oui, j'ai appris cette triste affaire tout à l'heure, expliqua Émilienne
- Et... Saurais-tu par hasard qui est le responsable ?
- Désolé Sandrine, Je... Je ne sais pas, non.
- J'ai l'impression que tu me ment
- Pourquoi donc ? J'ai toujours été franche avec toi.
- Et la fois et où tu as affronter le justicier de minuit dans le Modern World et que tu ne m'as rien dit ?
- C'était une exception, je voulais te protéger de Bastian.
- Lui aussi avait des raisons de t'en vouloir, non ?
Émilienne commença à froncer les sourcils comme si elle se doutait de quelque chose concernant son amie. Elle demanda alors :
- C'est Meddy qui t'as raconter que Bastian avait des raisons de m'en vouloir, pas vrai ?
- Qu'importe, nous étions tous amis jusqu'à ce que Julienne arrive, c'est elle qu'il faut en vouloir et pas à Meddy.
Émilienne s'énerva soudainement mais avant de dire ou de faire quoi que ce soit, elle repartit comme elle était venue. À ce moment, Sandrine appela Meddy avant de demander :
- Alors, tu as du nouveau ?
- La personne qui a tuer Marinaëlle a user de la magie noire pour la tuer. Et toi, tu as trouver quelque chose ?
- Rien que je ne savais pas
- C'est-à-dire ?
- Émilienne n'est pas directement responsable de la mort de Marinaëlle...
Pendant ce temps au château d'Arthémon, Valens, Ehouarm et Maure se battaient toujours contre Antime, Arthémon et Virginien. Valens venait de tirer la dernière flèche de son carquois et de sortir des couteaux de ses poches avant de courir à toute allure vers Antime et de tenter plusieurs fois de le blesser sans succès tandis qu'Ehouarm commençait à étrangler Virginien avec son propre arc et que Maure était encore à terre.
Valens voyant que Virginien allait mourir de la magie noir d'Ehouarm, ordonna à ce dernier d'arrêter, ce qu'il fit immédiatement. Virginien s'écroula à terre tandis que son arc lui avait laisser une marque rouge sang au cou. Ehouarm s'empara ensuite de l'épée d'Arthémon avant de la planter au plafond et que Valens n'aille l'attaquer. Avant de tomber provisoirement au combat, Arthémon expliqua :
- Ehouarm n'est... pas si différent... de Jefferson finalement...
Antime se retrouva ensuite seul contre Ehouarm et Valens mais décida de les enfermer entre plusieurs murs de pierre qu'il construisit immédiatement avec sa magie surpuissante. Antime révéla ensuite :
- Ça n'as rien de personnel, je veux juste me rapprocher d'Arthémon.
- Pourquoi ?, demanda Ehouarm
- Cela ne vous regarde pas, j'en ai déjà trop dit.
Un an plus tôt, Mia pointait toujours son fusil d'assaut en direction du général Tacelesien avant que celui-ci ne déclare :
- Tu n'osera pas appuyer sur la gâchette, je connais les femmes, elles ne sont pas faites pour la guerre.
- Eh bien, on dirait que vous avez tort, remarqua Mia avant de mitrailler son adversaire de tir jusqu'à ce qu'il meurt.
Les soldats adversaires pointèrent alors toutes leurs armes vers Bastian, Mia et Roberto avant que ce dernier ne lance un fumigène à terre. Au même moment, Bastian commença à se reveiller et à se lever avant que Roberto ne lui ordonne de s'enfuir. Tous entrèrent alors dans l'ascenceur, seul moyen de fuir qui n'avait pas été pris par l'ennemi et descendirent jusqu'au rez-de-chaussée avant de s'arrêter, voyant que l'ennemi encerclait l'hôpital et que les bâtiments en face et sur les côtés avaient pris feu. Bastian, Mia et Roberto décidèrent alors de reprendre à nouveau l'ascenceur mais, ils remarquèrent vite qu'il sur l'indicateur au dessus des portes, qu'il se dirigeait vers l'étage qu'ils venaient de quitter.
Chapitre 10 :
Partie 1 :
Chapitre 10 :
Fuite
La dernière chance pour Bastian, Mia et Roberto de fuir était devenu un dédale sous la ville qui joignait tout les bâtiments ainsi que les sorties Est et Ouest du village. Ils se dirigèrent donc vers le sous-sol de l'hôpital à tout vitesse tandis que l'ascenceur redescendait. Une fois arriver dans le sous-sol, chacun des trois compères cherchèrent un interrupteur mais ce fut finalement Roberto qui le trouva et qui l'actionna. Un couloir secret derrière une étagère à livre se dévoila et tous s'y engoufrèrent avant que le passage ne se referme derrière. Tout devint alors des plus sombres : Pas une lumière n'éclairait le couloir. Mia reprit alors son arme avant de tirer sur le mur qui lui faisait face afin d'éclairer le chemin. Il progressèrent alors dans le dédale souterrain jusqu'à arriver à la sortie Ouest du village mais des bruits de pas qui ne provenaient pas du trio se firent soudainement entendre.
De retour à nos jours, Ehouarm venait de créer un terrible champ de force de magie noir qui détruit d'un coup les murs qui le retenaient piéger avec Valens. Antime, lui, était déjà parti, Valens en profita donc pour aller réveiller Maure qui, à peine après avoir ouvert les yeux, frappa Valens de toutes ses forces en criant :
- Ça c'est pour m'avoir lâcher si brusquement !
- Mais... C'est pas ma faute : J'étais gêné de te tenir de la sorte, expliqua Valens sans succès.
Maure remarqua ensuite Ehouarm qui essayait de quitter la pièce silencieusement sans aucun mot :
- Tu n'avais pas besoin de me contrôler, Ehouarm, je t'aurai aider de toute façon, expliqua Maure
- Il t'as..., commença Valens
- ...Contrôler ? Oui, en effet... Je ne voulais pas qu'Arthémon sâche la vérité sur mes intentions et je ne savais pas en qui avoir confiance, l'interrompit Ehouarm
- Alors c'était vrai, tu as vraiment l'intention de voler le livre des rituels...
- Prend au moins le temps d'écouter ses raisons, lui demanda Maure.
- Je... J'ai l'intention de créer un portail vers l'Over World pour sauver une vieille amie à moi...
- Je vois... Tes intentions sont louables... Et puis tu mon ami... Je... Je souhaite t'aider moi aussi, expliqua Valens
- Merci à vous, j'ai déjà fait appel à un ami qui devrait pouvoir réussir à créer une émeute qui nous servira de distraction pendant que nous volerons le livre.
Valens, Maure et Ehouarm se mirent alors en courant vers la prison avant de finaliser le chemin vers la cellule de l'ami d'Ehouarm en marchant. Ehouarm lui fit alors un clin d'oeil discret avant que son ami ne demande à faire ses besoins et qu'Ehouarm repartent avec Valens et Maure mais cette fois en direction de l'objectif de leur mission tandis que Arthémon et Virginien était toujours à terre dans la salle du trône. Au même moment, au tribunal, Ildut vit Meddy partir en courant vers le château d'Arthémon et décida alors de le suivre avant de lui demander :
- Un problème ?
- Oui, tu es sûr que ton meilleur ami est un homme de confiance ?, demanda Meddy
Ildut s'arrêta brusquement avant de demander :
- Pardon ?
- On vient de m'apprendre qu'il est sur le point de voler le livre des rituels avec deux de ses amis
Ildut afficha un air d'incompréhension avant de demander :
- Savez-vous lesquelles sont-ils ?
- Ehouarm et Maure, tu connais ?, l'interrogea Meddy.
- Maure est une amie d'enfance de Valens et Ehouarm est un de ses amis qui l'as trahi plusieurs fois mais la naïveté de Valens l'a toujours pousser à lui pardonner.
- Maure, une amie d'enfance, dis-tu ?
- Oui, Valens la connaissais avant de me rencontrer, pourquoi ?
- Aucune importance, et ce Ehouarm, tu as bien dit qu'il a trahi plusieurs fois Valens
- En effet, mais Valens est persuader que ces trahisons sont dût à l'influence qu'a l'un des amis d'Ehouarm sur ce dernier.
- Je vois...
Meddy se remit à courir vers le château d'Arthémon tandis qu'Ildut le poursuivait, une fois de plus. Lorsqu'ils furent arriver au pied de l'immense château, ils croisèrent Bosco :
- Que me vaut l'honneur de la présence d'un rebelle ?, demanda ironiquement Ildut.
- Allons, Bosco est un vieil ami à moi, déclara Meddy
- Meddy, je venais ici pour vous parlez en seul à seul mais je vois que vous êtes occupés.
Meddy se dirigea avec Bosco à quelques mètres d'Ildut avant de se vanter à voix basse :
- Je t'avais dit que ça marcherais
- Parfaitement, même Émilienne et Julienne sont convaincus qu'elle est morte, commenta Bosco, toujours à vois basse.
Un an plus tôt, le trio composer de Bastian, Mia et Roberto venait d'entendre des bruits de pas se rapprocher d'eux, ils coururent, en conséquent vers la sortie à toute vitesse. L'homme qui les suivait, ayant entendu les bruits de pas, se mit à leur poursuite mais ne les rattrapa à temps, et le trio se réfugia dans une grande ville quasiment deserte, non loin de leur village. Ils étaient en fait, sans le savoir, arrivé dans la ville de Start :
- Bastian ?, demanda une voix au loin.
- Anthony ?, demanda à son tour Bastian.
Soudain, Anthony sortit de l'ombre accompagner de Valens :
- Ça fait combien, deux ans ?, demanda Valens.
- En effet, confirma Bastian.
- Vous vous connaissez ?, demanda Roberto.
- Oui, depuis quelques années déjà, expliqua Mia
- Bon, assez de blabla, vous êtes là pour echapper aux soldats Tacelesiens, non ?, reprit Anthony.
- Exactement, confirma Bastian
Anthony confia un exemplaire de Virtual World II à Bastian avant de lui expliquer :
- Faites-en bon usage.