La Zunarmy x Fire Emblem

Hardin : Qui va là ?
Zunashy : C'est moi, Zunashy.
Hardin : Ah, tu es arrivé.
Zunashy : Oui, tu m'appelé.
Hardin : Il fallait que j'en parle à quelqu'un. Tu sais que je suis l'empereur d'Akaneia.
Zunashy : ... Comme tout les citoyens ici.
Hardin : Je... Je suis marié à Nyna et... Je suis amoureux d'elle.
Zunashy : ...
Hardin : Je devine sur ton visage que tu es au courant de la suite.
Zunashy : Elle est amoureuse de Camus, et son seul intérêt au mariage était de pouvoir diriger le pays.
Hardin : Oui, elle n'éprouve pas de sentiment à mon égard, je me sentais comme un homme accomplit, aujourd'hui je me sens idiot, et seul.
Zunashy : L'amour à sens unique engendre la folie si on s'y attache trop. Gardez la tête sur les épaules, votre peuple à besoin de vous, vous n'êtes pas un idiot, vous n'avez juste pas eu de chance.
Hardin : Oui, c'est vrai.
Zunashy : Vous avez fait de bonnes choses pour ce pays, et je suis sûr que vous avez encore des idées pour faire prospérer votre règne.
Hardin : Je... En effet, merci, Zunashy.
Zunashy : Souhaitez-vous autre chose ?
Hardin : Non.
Zunashy : Très bien, au revoir.

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Quelques semaines plus tard, Zunashy eu vent des événements comme quoi Hardin avait perdu la tête et qu'il comptait réformer toutes les lois qu'il avait fait passer auparavant, il ne put accéder à ses appartements mais eu une audience.

Zunashy : Sire ! Que se passe-t-il ? Vous avez rejeté vos propres lois !
Hardin : ... Zunashy, je te reconnais à peine.
Zunashy : Pourtant, je n'ai pas changé.
Hardin : En effet, tu passes toujours autant de temps à écouter les autres, tu ne devrais pas.
Zunashy : Pardon ?
Hardin : Un coeur fort dans une mentalité faible, tu n'arriveras pas à grand chose comme ça.
Zunashy : ... Mais... Qu'êtes-vous en train de dire ?
Hardin : Ma femme ne compte plus à mes yeux, elle m'a trahit de toute façon, moi et l'empire.
Zunashy : Nyna ?! Mais elle a participé aux intérêts du royaume !
Hardin : Elle avait besoin de se marier avec moi, elle n'a pas hésité une seule seconde à m'utiliser pour ça.
Zunashy : Elle était triste de devoir le faire.
Hardin : Donc, tu oses la défendre devant moi.
Zunashy : ...
Hardin : Que sais-tu réellement de tout ça ?
Zunashy : J'ai déjà été utilisé par des femmes, mais je ne cherches plus à me venger, je me dis que c'est la vie, et je continue, alors je les oublies et...
Hardin : Vois-tu, cher ami, nous sommes d'accord.
Zunashy : Pardon ?
Hardin : Un marchand m'a offert cette orbe. Depuis que j'y ai plongé mon regard, j'y vois plus clair. Et toi, que peux-tu y voir ?
Zunashy : ... Je vois... plein d'horreurs, des femmes avec un sourire démoniaque. Des groupes de forts tabassant des faibles.
Hardin : Et que faut-il faire ?
Zunashy : Les tuer.
Hardin : Alors tu es d'accord avec moi, je compte offrir Nyna à Gharnef pour ressusciter Medeus, seul lui trouvera la force et la conviction pour nous amener sur un même pied d'égalité.
Zunashy : ... Qu'est-ce que je viens de dire, non ! Tuer les gens ne sert à rien ! ils apprennent de leurs erreurs ! Medeus ne fera pas avancer les choses, nous serons tous des esclaves !
Hardin : Tu as raison, les gens apprennent de leur erreurs, tu vas aller dans les cachots de l'empire pour t'être mesuré à moi, j'espère que tu auras appris à ce moment là.
Zunashy : Quoi ?! Non ! Qu'est-ce que, arrêtez ! Reconsidérez cette décision ! Vous allez droit vers la ruine ! Hardin ! Vous m'entendez ?! Lâchez cette orbe !
Hardin : Ceux qui ne sont pas d'accord avec moi, sont contre moi.

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Une fois enrôlé dans l'armée de Marth et devant son empereur, Zunashy pu parler une dernière fois à Hardin lorsqu'il retrouva ses esprits.

Hardin : Zunashy...
Zunashy : J'ai réfléchit dans ces cachots.
Hardin : Tu as dû me haïr.
Zunashy : Non, je me suis retrouvé en vous, j'étais comme vous, j'ai tellement détesté les femmes et les gens populaires, je les prenais pour des manipulateurs.
Hardin : Comment as-tu su rester... aussi fort ?
Zunashy : Une amie à moi m'a donné deux claques et m'a expliqué son point de vue.
Hardin : Elle... Elle était plus expressive que certaines, n'est-ce pas ?
Zunashy : Une vraie furie, mais je ne peux plus aimer les femmes, mais faire payer des gens pour des erreurs venant d'autrui, c'est impardonnable.
Hardin : Tu as raison, j'aurais voulu être aussi réactif.
Zunashy : ... Moi aussi, ça nous aurait évité la chute puis la mort d'un grand homme.
Hardin : Il y en aura d'autres.
Zunashy : ... Oui.
Hardin : J'aimerais te demander une dernière chose.
Zunashy : Nous vaincrons Medeus et nous...
Hardin : Trouve-toi une femme à aimer.
Zunashy : ... Je vais essayer.
Hardin : Merci, adieu, Zunashy.
Zunashy : Adieu, sire.